Le malaise de la jeunesse

30 septembre 1980
Jacques Pilet (journaliste)
Les archives de la RTS

Le 30 septembre 1980, l'émission Table ouverte aborde le délicat sujet du malaise de la jeunesse. C'est à Zurich que les premières manifestations ont eu lieu, cet été-là, pour revendiquer un centre autonome et une politique culturelle différente. Des heurts violents entre la police et les jeunes autonomistes ont marqué les esprits en Suisse. Qu'en est-il en Suisse romande?

Le journaliste Jacques Pilet reçoit Jean-Daniel Cruchaud, municipal à Lausanne, Guy-Olivier Segond, conseiller administratif de la ville de Genève et président de la
Commission fédérale pour la Jeunesse, Francis Matthey, président de la ville
de La Chaux-de-Fonds et des jeunes de villes romandes. Un débat qui préfigure les événements de Lôzane bouge.

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  • Martine Desarzens

    .....(..)"Les photos de violence qui ont été publiées ne prouvent rien, sinon que l'événement s'est produit. (...) Il faut bien voir que la police; des hommes comme vous et moi, des pères de famille. (...) Je ne connais pas vraiment la tactique policière employée, et puis ça ne m'intéresse pas de le savoir." ...(...) écrit Guy Olivier Segond, auteur du fameux rapport sur la jeunesse, président de la Commission fédéral pour la Jeunesse, à l'époque politicien genevois de droite. Journal Femina, 4.2.1981. En évoquant G.O. Segond, dans ce débat très intéressant, on entend le discours du ...(..)..."Maître à penser d'une certaine officialité sereine"...(...)... ! Anne-Catherine Menétrey, "La vie...vite"

  • Adeline Udry

    Ce qui différencie la police des militaires c'est la réflexion. Un policier obéi aux ordres, tandis qu'un militaire peut les refuser. Les CRS en France sont des policiers, ceci expliquant cela.