En agrandissant la photo, la vie quotidienne d'une génération oubliée ressuscite: la pharmacie Bourgeois, au premier plan à gauche; une épicerie, un photographe... Au fond, à droite, au début de la Grand-Rue, une fabrique de parapluies et un marchand de valises. Au verso du document, un mot de la main de Pierre Favarger signale que la maison du fond, entre la rue du Seyon et la Grand-Rue, appartenait à sa tante Henriette Borel-Favarger, et qu'il y avait une chambre au troisième étage au temps de ses études. LdW (Fonds Favarger)