Ha oui, tellement vrais....et agréable.... J'aime ces espadrilles lacées autour des chevilles, avec le bout de l'espadrille qui était brodé en coton épais de la même couleur que l'espadrille...pour empêcher que le gros orteil sorte trop vite......il fallait qu'elles tiennent en tout cas tout l'été. Toute la famille portait ces espadrilles achetés sur les marchés en France....

Chaussure très "à la mode" à cette époque. Bravo, bien observé! Dommage qu'on ne puisse savoir ce qui se lisait en 1950.

Le seul hic avec les espadrilles, l'eau... je me souviens que nous les portions lacées autour de la jambe.

En 1950, je n'avais que 7 ans, mais j'ai toujours aimé les livres et regardé ce que mon proche entourage féminin lisait; Ma mère, mes tantes adorables Zizi et Trudy, ma grand-mère maternelle raffolaient lire ces grands romans traduits de l'anglais comme Jane Eyre de Charlotte Bronté. Le pays du Dauphin vert de Elisabeth Goudge, tous les romans de François Mauriac.... Les hauts de Hurlevent d'Emiliy Bronté...ces soeurs Bonté, quelles merveilleuse littérature...Je me souviens aussi de Chien perdu sans collier de Gilbert Cesbron et puis Poil de carrote de Jules Renard,...Le petit chose de Daudet....tant et tant de livres qui ont habités nos vacances familiales....Cette femme me fait tout à fait penser aux "femmes de ma famille"...

Oui les semelles si dur après le pluies..et presques "inséchables".....valait mieux les enlever et marcher pieds nus..... Pour les hommes il y avait "les basques" brunes avec lacets noirs....

Mes parents étaient amateurs de romans policiers et de récits d'aventures.

Ouiiii les policiers,génial..... Dès 1960,Chester Himes avec la Reine des pommes; je crois mon premier policier..... Ha les vacances, les livres ça sent bon l'évasion.....