Certains bâtiments sont si laids que c’est parfois un réel soulagement que de les voir disparaître… Ce n’est que lorsqu’on les redécouvre, comme c’est le cas ici, trente ans plus tard, qu’on se rend compte qu’ils font partie, qu’on le veuille ou non, de notre vécu et qu’à ce titre, ils en deviennent presque beaux. Merci en tout cas de ne pas avoir cherché à «esthétiser» outre mesure vos images au moment de la prise de vue; cela rend ces retrouvailles d’autant plus authentiques et émouvantes