"Foederis" - Les 75 ans de la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes
"Foederis" - Les 75 ans de la Fédération vaudoise des jeunesses campagnardes
Les 75 ans
Ce jubilé se déroula sur toute l'année au fil des différentes manifestations organisées par cinq sociétés de jeunesse.
L'année débuta avec le concours théâtral organisé à Forel-Lavaux du 8 au 10 avril 1994. Neuf sociétés de jeunesse y participèrent. Il s'agit des Jeunesses de Poliez-Pittet, Boulens/Peyres-Possens, Forel, Le Brassus, Payerne, Lonay, Senarclens, Palézieux et Vers-chez-les-Blancs.
La seconde manifestation était prévue à Hermenches. Une idée qui avait germé dans les esprits des membres du Comité Central de l'époque pour marquer le 75e anniversaire était de réunir les sociétés de jeunesse au-delà des frontières vaudoises. Malheureusement, la rencontre internationale a dû être annulée faute de participants.
Du 12 au 14 août 1994, les fédérés purent découvrir le village de « Foederis » qui prit naissance à Champvent. « Foederis » en latin signifie Fédération ou alliance.
Des jeux sans frontières furent organisés à Gilly le dernier week-end d'août et le premier week-end de septembre. Cette manifestation fut jumelée avec le tir Cantonal.
Pour les jeux sans frontières, quatre équipes de la FVJC (une jeunesse par région) étaient en compétition avec d'autres jeunesses des cantons limitrophes, telle que la Jeunesse du Landeron, La Jeunesse de Broc, la Jeunesse du Bouveret et l'équipe du Lavaux qui remplaça au pied levé la Jeunesse Viticole Genevoise.
En dernier lieu, Peney-le-Jorat avec sa journée des anciens les 10 et 11 septembre 1994.
Celle-ci fut regroupée avec le Rallye. Le samedi était consacré au Rallye avec des équipages mixtes « jeunes et anciens », tandis que le dimanche était consacré à l'histoire de la FVJC. Le banquet officiel était d'ailleurs animé style 1920.
La donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis
Suite à la donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis (1888-1980) à la Fondation Plateforme 10 à Lausanne. notreHistoire.ch est allé à la rencontre de Philippe Chappuis, descendant du photographe, et a évoqué avec lui les étapes qui l'ont mené à déposer la collection familiale dans une institution publique.