Hector BERLIOZ, Ouverture Le Corsaire, Op. 21, OSR, Ernest ANSERMET, 1967, Decca LONDON CSA 2101
Hector BERLIOZ, Ouverture Le Corsaire, Op. 21, OSR, Ernest ANSERMET, 1967, Decca LONDON CSA 2101
Hommage à la mémoire d' Ernest ANSERMET, 2019, III
Cette ouverture de concert fut composée pendant les vacances de Berlioz à Nice, en août 1844, et donnée en première audition sous le nom «La Tour de Nice» le 19 janvier 1845 au «Cirque Olympique», dit aussi «Cirque des Champs-Élysées».
Voir cette page du site de Michel Austin et Monir Tayeb dédié à Hector Berlioz pour la transcription d'un commentaire paru le 25 janvier 1845 dans l'«Illustration, Journal universel».
Hector Berlioz remania ensuite l'oeuvre en 1851 et lui donna le titre «Le Corsaire rouge». Elle fut donnée en première audition à Brunswick le 8 avril 1854. Berlioz la publia l'année suivante, en la dédiant à son ami James William Davison.
Aussi bien l'origine exacte du premier nom - «La Tour de Nice» - que celle du second nom - «Le Corsaire rouge» - ne sont pas claires.
Pour l'interprétation qui vous en est proposée sur cette page...
... les séances d'enregistrement eurent lieu du 3 au 5 novembre 1967 (*), bien entendu dans le Victoria-Hall de Genève, équipe John Mordler / James Lock de Decca. Les enregistrement de l'Ouverture Le Corsaire et de la Symphonie Fantastique furent publiés pour la première fois en juin 1968 sur les disques Decca LXT 6343 (mono) et SXL 6343 (stéréo).
À noter qu'il s'agissait de son deuxième enregistrement de cette ouverture: Ernest Ansermet l'avait enregistrée une première fois en décembre 1964, avec d'autres ouvertures de Berlioz, bien entendu pour Decca.
L' enregistrement que vous écoutez...
Hector BERLIOZ, Ouverture Le Corsaire, Op. 21, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest ANSERMET, 3 au 5 novembre 1967, Victoria-Hall, Genève, Decca LONDON CSA 2101 (08:43)
Provenance: Decca LONDON CS 6568 de l'album Decca LONDON CSA 2101
La donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis
Suite à la donation du Fonds Pierre Auguste Chappuis (1888-1980) à la Fondation Plateforme 10 à Lausanne. notreHistoire.ch est allé à la rencontre de Philippe Chappuis, descendant du photographe, et a évoqué avec lui les étapes qui l'ont mené à déposer la collection familiale dans une institution publique.